« Lawrence de Picardie » : Jean Saintot

« Mes amis ! déclama Lawrence. Depuis trop longtemps, la Picardie a attendu son heure de gloire. Depuis trop longtemps, nous courbons l’échine sous le joug des Francs.
« Voilà mille six cents ans que ces barbares bafouent notre droit à l’indépendance et à la souveraineté sur nos ressources naturelles. La Picardie était l’une des régions les plus belles et les plus fertiles d’Europe, et que nous ont apporté nos envahisseurs ? La misère, les guerres et l’impôt qui tue. Durant leurs guerres stupides contre Albion ou la Germanie, notre région fut le champ de bataille de l’Europe entière. Et maintenant, ils cherchent à nationaliser nos champs de betteraves ! À nous déposséder de tout ce que nous avons ! »

L’insurrection générale de la Picardie m’a frappé comme un impératif littéraire et politique. Dans « Lawrence » comme dans notre réalité, ce ne sont pas les Picards qui rejettent le « système », mais la société qui les rejette dans ses marges. À une élite qui les méprise ou les ignore, ils opposent leur débrouillardise, leur sens de l’entraide et leur esprit d’indépendance. L’indépendance des Picards est leur respiration : j’ai voulu leur donner un grand bol d’air.

– Jean Saintot.

Jean Saintot a 29 ans. Lawrence de Picardie est son premier roman.

MANESSIER, Le Crotoy et la baie de Somme · Œuvres de jeunesse » Christine Manessier

Pendant l’été 1923, le jeune Alfred Manessier a 11 ans. Depuis 1919, la famille passe ses vacances d’été dans la station balnéaire du Crotoy, en Picardie. Blanche, sa mère, ose alors aborder Albert Matignon, peintre réputé de l’époque, qui venait lui aussi séjourner chaque année au Crotoy. Elle lui montre les aquarelles de son fils. Le peintre encourage le jeune garçon et renforce chez lui une passion naissante pour la peinture. Chaque été entre 1925 et 1930, Alfred Manessier réalise entre 60 et 70 pochades à l’huile en s’inspirant de la baie de Somme.

Ce livre propose une sélection d’environ quatre-vingts études peintes sur le motif durant cette période, organisée selon un parcours pictural établi par la fille du peintre et commenté par Sabine Cazenave, conservateur en chef du Musée de Picardie. Christine Manessier y évoque également l’enfance, l’adolescence de son père et son éveil à l’art à travers des chroniques richement illustrées de documents familiaux. Le peintre lui-même s’exprime sur cette période lors d’un entretien avec Gilles Plazy réalisé en 1986 pour France Culture.
Ouvrage introduit par Jacques Darras.

Couverture

« La Vie balnéaire en baie de Somme » Annie Jacques

Nouvelle édition.

C’est sur les côtes de la Manche, du milieu du XIXe siècle jusqu’en 1914, que s’est développé le tourisme balnéaire en France. La baie de Somme et en particulier Le Crotoy, avec sa longue plage de sable exposée au sud, a été le témoin privilégié de cet engouement pour les bains de mer.
Le célèbre parfumeur de l’impératrice Eugénie, Pierre Guerlain, originaire d’Abbeville, fut l’un des premiers fondateurs de la station. À sa suite, de nombreuses personnalités littéraires ou artistiques ont fréquenté la cité. Jules Verne a vécu plusieurs années dans le village et y a rédigé romans et notes scientifiques. Paul Eudel, célèbre collectionneur et chroniqueur d’art parisien, a consacré un volume de souvenirs à sa ville natale. Colette, qui y a séjourné quatre années de suite, a laissé de nombreuses pages sur la baie, non seulement dans Les Vrilles de la vigne mais dans ses chroniques journalistiques et sa correspondance privée. Quant au peintre Toulouse-Lautrec, grand amateur de chasse, il fréquenta plusieurs fois la station pendant les dernières années de sa vie, laissant derrière lui un souvenir encore bien présent aujourd’hui.

Annie Jacques est historienne de l’architecture du xixe siècle, elle a publié de nombreux textes sur cette période. Conservateur général du patrimoine, elle a été responsable pendant des années de la Bibliothèque et des Collections de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris, où elle a organisé de grandes expositions des dessins des architectes Grands Prix de Rome d’architecture.

« Une vie de pêche en baie de Somme » Pierre Devismes raconte… Jeanine Bourgau

Nouvelle édition revue et augmentée de 16 pages.

Cet ouvrage richement illustré de photographies d’archives souvent inédites, propose une approche vivante destinée à tous les amoureux de la Baie de Somme et de la mer. Il donne des informations indispensables à la compréhension de l’évolution de ce milieu si fragile et qui s’efface chaque jour un peu plus. Par la sauvegarde de cette mémoire et par l’évocation de ces activités de pêche, la plupart disparues, ce livre veut à la fois rendre hommage aux travailleurs du siècle dernier, à leur culture et être un outil de découverte de la Baie de Somme sous l’angle de son histoire maritime.

Pierre Devismes, amoureux de sa baie et fier de son métier décrit les différentes activités de pêche en Baie de Somme pratiquées depuis son enfance : la pêche en mer à la voile, la pêche aux harengs, la récolte des coques, celle des vers, la pêche à pied aux Cabanes, au cap Hornu, la vente des produits de la pêche, la dure vie des travailleurs de la baie et leur joie lors des fêtes, des processions ou des régates.

Jeanine Bourgau, elle-même fille de marin crotellois et fondatrice d’une association pour la sauvegarde de la mémoire du Crotoy, a recueilli ces récits en picard. Elle les a traduits en français et a rédigé pour chacun d’entre eux une introduction explicative qui permet de situer les sujets.

 

Satania · Âme perdue chez Jules Verne : Claude Tillier

Je suis écrivain et guide à la Maison de Jules Verne. Une nuit, un SMS signé Satania m’a emmené au-delà du réel :
Je m’appelle Satania, j’ai 7 ans et demi, cheveux noirs et yeux rouges. Je n’ai pas de nez ni d’oreilles, mais je possède un corps hanté. Je suis morte en 1666. Si tu n’envoies pas ce message à dix personnes à part moi dans les cinq prochaines heures et si tu ne fais pas suivre ce message, je resterai, cette nuit, à côté de ton lit avec un  couteau et je te ferai sentir ma présence. Alors, à tout à l’heure.

Né en 1965 au Touquet, Claude Tillier habite à Amiens où il travaille comme guide à la Maison de Jules Verne. Il y « réside » depuis une vingtaine d’années, soit plus longtemps que Jules Verne lui-même, et y anime des ateliers d’écriture. Passionné de littérature de genre, London, King et Dick façonnent son univers.
Après Le Blanc qui voyait noir, un roman dramatique et son polar Le Tableau noir, voici son premier roman fantastique.

Ouvrage préfacé par Jean Verne, arrière-petit-fils de Jules Verne.

« La Loge des âmes » Zagam Milek

En 1379, incertain de son avenir, Abraham le Juif, alchimiste douaisien, demande à Joseph, son collègue et ami de remettre à Nicolas Flamel la copie de son livre, « Le Livre d’Abraham le Juif ». Cet ouvrage mystérieux comporte de nombreuses formules et notamment celle de l’immortalité.

En 2012, Zagam Milek, libraire en livres anciens, se voit proposer un lot d’ouvrages ésotériques dans l’un desquels il trouve glissé un extrait du journal intime daté de 1937 de François Jollivet-Castelot, alchimiste et Rose-Croix douaisien. En marchant sur les traces de Jollivet-Castelot et en décryptant son livre « Le Destin ou les Fils d’Hermès », Zagam Milek va redécouvrir le Douai de son enfance, explorer une église abandonnée et croiser la très secrète « Loge des Âmes » chargée de veiller sur « Le Livre d’Abraham Le Juif ».
Dorénavant lui-même porteur de secrets, Zagam Milek va devoir affronter le passé et commettre l’irréparable… pour le meilleur ou pour le pire ? Seul l’avenir le dira.

Zagam Milek est ingénieur et libraire à ses heures. Né à Douai, il est venu s’y réinstaller après vingt-cinq années d’exil à Paris. Passionné depuis l’adolescence par les mystères, l’occultisme et les romans noirs, il se tourne naturellement vers le thriller ésotérique quand il décide de se lancer dans l’écriture de son premier roman. Un roman qui a pour cadre sa ville natale.

« Zeph et le gland doré / Zef en den gouden eekel » École St Joseph d’Esquelbecq

Les enfants de l’école Saint Joseph d’Esquelbecq ont créé un géant « Zeph, le chêne ». Ce géant est un chêne car Esquelbecq signifie en flamand « la rivière aux glands ». De plus, l’école est entourée de chênes. Lors des défilés, Zeph est accompagné par les enfants qui portent des masques d’animaux de la forêt. Comme Esquelbecq est aussi un « Village du livre », Zeph porte des livres imaginés et illustrés par les enfants.
Cet ouvrage bilingue français/flamand a été écrit par les élèves des classes de CE de Mademoiselle Marie WEILLAERT accompagnés par l’écrivain Timour MUHIDINE. Il est destiné à fournir un support aux enseignants ou aux parents qui souhaitent aborder la langue flamande avec les enfants.

Par la classe de CE1/CE2 de l’école Saint Joseph d’Esquelbecq / Opezet van de schoolejongens CE1/CE2 van de Sinte Jozefschoole Eekelsbeeke

Mee de helpe van de Akademie voor Nuuze Vlaemsche Taele
Avec l’aide de l’Institut de la Langue Régionale Flamande

On a volé le gland de Zeph… Le géant parti à la recherche de son talisman, croise le chemin de nombreux animaux bizarres qui aimeraient l’aider mais l’entraînent dans les recoins de la forêt, sur des pistes surprenantes. Il lui faudra beaucoup s’égarer avant de retrouver… le chemin de l’objet disparu. Mais qui était le voleur ?

Zefs eekel het estoolen ewist… Den reuze, voort egaen om zen toovermiddel te zoeken, kruust den weg van veele komyke beesten dien nhem zoun willen helpen maer ze trekken hen op in ael d’hoeksches van ’t busch op onverwachte weggen. Hen gaet nhem styf moeten verlieren voor… den weg van de wegbelende zaeke weere te vinden. Maer wien wos den dief ?

« La Forêt se révolte · ’T Busch eegenweert nhem » École St Joseph d’Esquelbecq

Les enfants de l’école Saint Joseph d’Esquelbecq ont créé un géant « Zeph, le chêne ». Ce géant est un chêne car Esquelbecq signifie en flamand « la rivière aux glands ». De plus, l’école est entourée de chênes. Lors des défilés, Zeph est accompagné par les enfants qui portent des masques d’animaux de la forêt. Comme Esquelbecq est aussi un « Village du livre », Zeph porte des livres imaginés et illustrés par les enfants.
Cet ouvrage bilingue français/flamand a été écrit par les élèves de la classe de CM de Mme Christine Van Agt accompagnés par l’écrivain Timour MUHIDINE. Il est destiné à fournir un support aux enseignants ou aux parents qui souhaitent aborder la langue flamande avec les enfants.

Par la classe de CM1/CM2 de l’école Saint Joseph d’Esquelbecq / Opezet van de schoolejongens van den CM1/CM2 van de Sinte Jozefs schoole te Eekelsbeeke

Mee de helpe van de Akademie voor Nuuze Vlaemsche Taele
Avec l’aide de l’Institut de la Langue Régionale Flamande

La ville de Blecques envisage de construire un lotissement à la lisière de la forêt. Chez les animaux qui ont appris la nouvelle, réunis autour de Zeph le chêne, la révolte gronde : pas question de laisser les hommes détruire leurs habitations, terrains de jeu, etc. Ils se liguent pour résister aux ouvriers qui débarquent un beau matin et décident de mener un combat féroce. Animés par la force des faibles, ils sont prêts à tout pour sauver leur nature !
Un roman écologique qui flirte avec le conte.

’T stei van Bleeke beschikt huuzen te bouwen in den boord van ’t busch. De beesten die daervan hooren hen, hen nhulder vergaerd rond Zef, den eëken. ’T eegenweerde komt oover : geen kweestje van de menschen in ’t busch te laeten verpletteren. Ze vergaeren nhulder teegen de werkmenschen dien op een zeekeren nuchtend opkommen, en beschikken van een verschrikkelike gevecht te leëen. Mit de macht van de flaeuwen, ze zyn gereëd om alles te doen om nhuldere nateure te bewaeren.
Een ekologyke romang die styf naer is van een kindervertellingsche.

« Zeph et ses amis · Zef en ze maets » École St Joseph d’Esquelbecq

Les enfants de l’école Saint Joseph d’Esquelbecq ont créé un géant « Zeph, le chêne ». Ce géant est un chêne car Esquelbecq signifie en flamand « la rivière aux glands ». De plus, l’école est entourée de chênes. Lors des défilés, Zeph est accompagné par les enfants qui portent des masques d’animaux de la forêt.
Comme Esquelbecq est aussi un « Village du livre », Zeph porte des livres imaginés et illustrés par les enfants.
Cet ouvrage bilingue français/flamand a été imaginé par les élèves des classes de maternelles et CP de Mesdames Sylvie Delannoy et Sabine Deboudt, accompagnés par l’écrivain Timour MUHIDINE. Il est destiné à fournir un support aux enseignants ou aux parents qui souhaitent aborder la langue flamande avec les enfants.

Mee de helpe van de Akademie voor Nuuze Vlaemsche Taele
Avec l’aide de l’Institut de la Langue Régionale Flamande

Toi aussi viens t’initier au flamand de manière ludique et simple, en suivant Zeph le chêne dans ses aventures.
Au fil des mois, il rencontrera douze animaux dans la forêt…
Et les animaux adorent se cacher.
Cherche-les dans chaque forêt…
Rejoins-le vite ! Il n’attend que toi pour se mettre en chemin.

Gy oek, komt Vlaemsch1 leeren op een simpele maniere al speelen, al Zef den eëkeboom volgen in ze toekomsten.
Maend achter maend, hen gaet twaelf beesten eegenkommen in ’t busch…
En de beesten hen geern nhulder te duuken. Zoekt ze in yder busch…
Komt maer zeere naer ! Hen beit maer achter joun om den weg te gruupen.

1583, AULT, la ville engloutie

« 1583 Ault La ville engloutie » tome I Sylvette Mathieu

Ault la ville engloutie tome I : L’EAU

À la fin du XVIe siècle, à Ault, en Picardie, quatre femmes : Catherine, la bourgeoise, Marguerite, grande amoureuse qui a vécu à la cour des Valois, Agnès, la fanatique catholique, et Héloïse qui n’a pas eu beaucoup de chance dans sa vie, vivent les derniers moments de la ville basse au pied des falaises et du port où vient de rentrer le navire de Robert le Terre-Neuva après six mois de pêche à la morue.
En pleines guerres de religion, le duc de Guise, chef de la Ligue catholique, veut se servir des galeries souterraines d’Ault pour abriter un complot dont le but est l’assassinat d’Élisabeth Ire d’Angleterre la protestante. Joseph, Jésuite mathématicien, astronome et astrologue, lui est envoyé pour organiser la base. Les signes ont prévenu, l’homme du marché a prévenu, mais personne n’y a cru… L’ouragan est arrivé et il a anéanti tous les espoirs, comblé le port, englouti la ville basse et l’église Sainte-Marie, la falaise s’est écroulée sur les maisons des pêcheurs… Victor Hugo, lors d’un voyage sur la côte picarde en 1837, fut ému par le témoignage d’une vieille femme qui, dans sa jeunesse, avait vu le clocher de l’église Sainte-Marie dépassant des flots. Il a raconté ce drame dans une longue lettre à sa femme.

Sylvette Mathieu propose à travers ce texte palpitant de vivre les derniers moments de la ville basse d’Ault qui fut engloutie par la mer à la fin du XVIe siècle. Contrairement à la légende de la ville d’Ys, c’est un fait historique acquis tout comme l’existence d’un beffroi ecclésiastique ou la présence de muches (refuges souterrains) uniques en Picardie maritime. L’auteure nous emmène dans sa quête, sur le terrain auprès des habitants, de ce patrimoine oublié mais exceptionnel de la ville d’Ault.

« 1588 La Terreur des Seize » tome II Sylvette Mathieu

Ault la ville engloutie tome II : L’AIR

Cinq ans après l’engloutissement de son port et de sa ville basse, Ault se relève lentement mais les choses ne sont plus comme avant…
Catherine, la bourgeoise, en Picarde avisée, et aussi en femme d’affaire, investit à Paris où son fils est avocat. Elle, Agnès et Marguerite se retrouvent dans la capitale en 1588, au pire moment des guerres de religion, pendant la dictature des fanatiques catholiques du duc de Guise dans les seize quartiers de Paris. Héloise reste à Ault où elle participe à la reconstruction du port, mais sa vie avec François le broutier n’est pas celle qu’elle espérait. À Paris, un homme qui avait sévi à Ault va resurgir et amener Agnès sur le point d’être brûlée vive en place de Grève. Marguerite va vivre une folle passion, mais son passé d’ancienne dame de compagnie de la reine Margot va la rattraper. Des signes préviendront Joseph le Jésuite du danger qui menace son amour de toujours. L’inscription de Marguerite sur la liste noire des Seize va l’obliger à regagner la Picardie où ses amies se sont déjà prudemment réfugiées.

Suite au succès de 1583 Ault, la ville engloutie, Sylvette continue d’explorer cette époque troublée de la fin du XVIe siècle. Après le cataclysme qui s’est abattu sur le port d’Ault, elle s’est intéressée aux premières barricades de Paris, à son air pollué, à l’intolérance et au fanatisme qui y régnaient en 1588 pour y emmener ses héroïnes. À travers ce roman historique qui mêle l’aventure, l’amour et une réelle passion pour l’histoire, Sylvette Mathieu se révèle comme l’auteure d’une véritable saga féministe qui ravira ses lecteurs et lectrices.

« 1589 Mortelle tradition en Dauphiné » tome III Sylvette Mathieu

Ault la ville engloutie tome III : LA TERRE

Le XVIe siècle finissant, quatre amies, Catherine, Agnès, Héloïse et Marguerite échappent à la fureur des éléments déchaînés qui engloutissent la ville basse d’Ault. Après un séjour à Paris pendant lequel Agnès a failli être brûlée vive par les fanatiques religieux, elles sont obligées de retourner en catastrophe à Ault où Marguerite apprend qu’elle a hérité de propriétés dans le Dauphiné. Dans le codicille du testament, le notaire évoque une mystérieuse menace de mort qui pèse sur sa descendance, et Marguerite est enceinte ! Les quatre amies partent à Grenoble et découvrent la vie dans les montagnes du Vercors. Le notaire est assassiné avant d’avoir pu révéler l’origine du danger et Marguerite, aidée de Louis dont la famille est de grande noblesse dauphinoise, se lancent dans une incroyable enquête afin de lever le voile sur l’identité de ce redoutable ancêtre qui menace la vie de l’enfant qu’elle porte.
L’ennemi de toujours va resurgir et la fatalité les forcera de nouveau à retourner à Ault.

Suite au succès de 1583 Ault, la ville engloutie, Sylvette Mathieu poursuit l’exploration de cette époque troublée de la fin du XVIe siècle.