Archives de catégorie : Roman

Claude Tillier : SATANIA. Âme perdue chez Jules Verne

« Satania · Âme perdue chez Jules Verne »
232 pages · Format 12 x 20,5 cm · 12 €
ISBN : 978-2-917621-30-1

© Photo Samuel Crampon

Je suis écrivain et guide à la Maison de Jules Verne. Une nuit, un SMS signé Satania m’a emmené au-delà du réel :
Je m’appelle Satania, j’ai 7 ans et demi, cheveux noirs et yeux rouges. Je n’ai pas de nez ni d’oreilles, mais je possède un corps hanté. Je suis morte en 1666. Si tu n’envoies pas ce message à dix personnes à part moi dans les cinq prochaines heures et si tu ne fais pas suivre ce message, je resterai, cette nuit, à côté de ton lit avec un  couteau et je te ferai sentir ma présence. Alors, à tout à l’heure.

Né en 1965 au Touquet, Claude Tillier habite à Amiens où il travaille comme guide à la Maison de Jules Verne. Il y « réside » depuis une vingtaine d’années, soit plus longtemps que Jules Verne lui-même, et y anime des ateliers d’écriture. Passionné de littérature de genre, London, King et Dick façonnent son univers.
Après Le Blanc qui voyait noir, un roman dramatique et son polar Le Tableau noir, voici son premier roman fantastique.

Ouvrage préfacé par Jean Verne, arrière-petit-fils de Jules Verne.

Jean Saintot : Lawrence de Picardie

336 pages format 12 x 20,5 cm · ISBN 978-2-917621-34-9 · 13,90 €

Lawrence de PicardieIllustration de Fraco

« Mes amis ! déclama Lawrence. Depuis trop longtemps, la Picardie a attendu son heure de gloire. Depuis trop longtemps, nous courbons l’échine sous le joug des Francs.
« Voilà mille six cents ans que ces barbares bafouent notre droit à l’indépendance et à la souveraineté sur nos ressources naturelles. La Picardie était l’une des régions les plus belles et les plus fertiles d’Europe, et que nous ont apporté nos envahisseurs ? La misère, les guerres et l’impôt qui tue. Durant leurs guerres stupides contre Albion ou la Germanie, notre région fut le champ de bataille de l’Europe entière. Et maintenant, ils cherchent à nationaliser nos champs de betteraves ! À nous déposséder de tout ce que nous avons ! »

L’insurrection générale de la Picardie m’a frappé comme un impératif littéraire et politique. Dans « Lawrence » comme dans notre réalité, ce ne sont pas les Picards qui rejettent le « système », mais la société qui les rejette dans ses marges. À une élite qui les méprise ou les ignore, ils opposent leur débrouillardise, leur sens de l’entraide et leur esprit d’indépendance. L’indépendance des Picards est leur respiration : j’ai voulu leur donner un grand bol d’air.

– Jean Saintot.

Jean Saintot a 29 ans. Lawrence de Picardie est son premier roman.

Les médias en parlent :

Une belle critique sur Babelio

L'Aisne Nouvelle du 24/04/2015

Le Vase Communiquant du 24/04/2015

Le Démocrate de l’Aisne

Démocrate de l'Aisne

Zagam Milek : Le dormeur du mal

252 pages · Format 12 x 20,5 cm · 13,50 € · ISBN 978-2-917621-31-8

couv le dormeur du mal

 

Septembre 1870, le jeune Arthur Rimbaud est de passage à Douai. Qu’y a-t-il fait ? Qu’y a-t-il vu ?
Près d’un siècle et demi plus tard, Zagam Milek, libraire dans cette même ville, découvre un écrit caché du poète dans la maison où il vient d’emménager. Ce journal oublié, qui va le conduire dans le quartier de Paris où il a vécu plus de vingt ans, il aurait préféré ne jamais le trouver…

Passionné depuis toujours par les mystères, l’occultisme et les romans noirs, Zagam Milek se tourne vers le thriller ésotérique quand l’envie de se lancer dans l’écriture le surprend. Après La Loge des Âmes, il signe ici son deuxième roman.

Les médias en parlent :

La Voix du Nord du 24/04/2015

Jean Loisy : Tout Picard que j’étais…

Tout Picard que j'étais...

© Photo Jean-Luc Vigneux

« Tout Picard que j’étais » : livre format 12 x 20,5 cm · 308 pages · 15 € · ISBN 978-2-917621-09-7

Au début des années 1980, Clément, juge parisien ayant atteint un âge mûr, revient enquêter sur un crime non élucidé dans le petit village de Fleutes dans le Vimeu où il a passé son enfance. Victor Taigu avait été retrouvé embroché, l’année précédente, par une baïonnette allemande datant de la dernière guerre. L’enquête de la gendarmerie s’était vite heurtée à la loi du silence dont savent faire preuve les paysans picards et l’affaire avait été classée sans suite. Arrivant avec beaucoup d’habileté à ne pas se faire reconnaître des habitants du village, Clément parvient, sous prétexte d’opération de rénovation de l’habitat rural, à pénétrer au cœur de ce monde figé et à s’imprégner de ses règles, de son rythme et de ses rites. Au fil des rencontres et de la confiance qui s’installe, il parvient à dénouer un à un les fils de l’écheveau. Le juge remonte l’histoire du village jusqu’à sa propre enfance et les drames de la Seconde Guerre mondiale dont le crime de Taigu s’avérera être une des conséquences.

Né en Picardie, d’un père bourguignon et d’une mère picarde du Marquenterre, Jean Loisy est né à Abbeville au début des années 30. Dès le début du deuxième conflit mondial, ses parents entrent en résistance et doivent se réfugier dans la campagne picarde du Vimeu où l’auteur passe une partie de son enfance. Après une carrière nationale dans plusieurs grandes entreprises, Jean Loisy regagne la Picardie en 1996 et revient vers ses origines.

Un article dans Le Courrier Picard du 28 mai 2013 :

Monique Roberti et Jean Loisy ont dédicacé leurs ouvrages respectifs.

Zagam Milek : La Loge des âmes

La Loge des âmes

« La Loge des âmes » : livre format 12 x 20,5 cm · 192 pages · 12 € · ISBN 978-2-917621-24-0

En 1379, incertain de son avenir, Abraham le Juif, alchimiste douaisien, demande à Joseph, son collègue et ami de remettre à Nicolas Flamel la copie de son livre, « Le Livre d’Abraham le Juif ». Cet ouvrage mystérieux comporte de nombreuses formules et notamment celle de l’immortalité.
En 2012, Zagam Milek, libraire en livres anciens, se voit proposer un lot d’ouvrages ésotériques dans l’un desquels il trouve glissé un extrait du journal intime daté de 1937 de François Jollivet-Castelot, alchimiste et Rose-Croix douaisien. En marchant sur les traces de Jollivet-Castelot et en décryptant son livre « Le Destin ou les Fils d’Hermès », Zagam Milek va redécouvrir le Douai de son enfance, explorer une église abandonnée et croiser la très secrète « Loge des Âmes » chargée de veiller sur « Le Livre d’Abraham Le Juif ».
Dorénavant lui-même porteur de secrets, Zagam Milek va devoir affronter le passé et commettre l’irréparable… pour le meilleur ou pour le pire ? Seul l’avenir le dira.

Zagam Milek est ingénieur et libraire à ses heures. Né à Douai, il est venu s’y réinstaller après vingt-cinq années d’exil à Paris. Passionné depuis l’adolescence par les mystères, l’occultisme et les romans noirs, il se tourne naturellement vers le thriller ésotérique quand il décide de se lancer dans l’écriture de son premier roman. Un roman qui a pour cadre sa ville natale.

Ault la ville engloutie TOME II « 1588 La Terreur des Seize » de Sylvette Mathieu

240 pages · format 12 x 20,5 cm · 12,50 € · ISBN 978-2-917621-21-9

Tome II – L’AIR – 1588 LA TERREUR DES SEIZE

Cinq ans après l’engloutissement de son port et de sa ville basse, Ault se relève lentement mais les choses ne sont plus comme avant…
Catherine, la bourgeoise, en Picarde avisée, et aussi en femme d’affaire, investit à Paris où son fils est avocat. Elle, Agnès et Marguerite se retrouvent dans la capitale en 1588, au pire moment des guerres de religion, pendant la dictature des fanatiques catholiques du duc de Guise dans les seize quartiers de Paris. Héloise reste à Ault où elle participe à la reconstruction du port, mais sa vie avec François le broutier n’est pas celle qu’elle espérait. À Paris, un homme qui avait sévi à Ault va resurgir et amener Agnès sur le point d’être brûlée vive en place de Grève. Marguerite va vivre une folle passion, mais son passé d’ancienne dame de compagnie de la reine Margot va la rattraper. Des signes préviendront Joseph le Jésuite du danger qui menace son amour de toujours. L’inscription de Marguerite sur la liste noire des Seize va l’obliger à regagner la Picardie où ses amies se sont déjà prudemment réfugiées.

Suite au succès de 1583 Ault, la ville engloutie, Sylvette continue d’explorer cette époque troublée de la fin du XVIe siècle. Après le cataclysme qui s’est abattu sur le port d’Ault, elle s’est intéressée aux premières barricades de Paris, à son air pollué, à l’intolérance et au fanatisme qui y régnaient en 1588 pour y emmener ses héroïnes. À travers ce roman historique qui mêle l’aventure, l’amour et une réelle passion pour l’histoire, Sylvette Mathieu se révèle comme l’auteure d’une véritable saga féministe qui ravira ses lecteurs et lectrices.

Sylvette MATHIEU : 1583, AULT, la ville engloutie

1583, AULT, la ville engloutieÀ la fin du XVIe siècle, à Ault, en Picardie, quatre femmes : Catherine, la bourgeoise, Marguerite, grande amoureuse qui a vécu à la cour des Valois, Agnès, la fanatique catholique, et Héloïse qui n’a pas eu beaucoup de chance dans sa vie, vivent les derniers moments de la ville basse au pied des falaises et du port où vient de rentrer le navire de Robert le Terre-Neuva après six mois de pêche à la morue.
En pleines guerres de religion, le duc de Guise, chef de la Ligue catholique, veut se servir des galeries souterraines d’Ault pour abriter un complot dont le but est l’assassinat d’Élisabeth Ire d’Angleterre la protestante. Joseph, Jésuite mathématicien, astronome et astrologue, lui est envoyé pour organiser la base. Les signes ont prévenu, l’homme du marché a prévenu, mais personne n’y a cru… L’ouragan est arrivé et il a anéanti tous les espoirs, comblé le port, englouti la ville basse et l’église Sainte-Marie, la falaise s’est écroulée sur les maisons des pêcheurs… Victor Hugo, lors d’un voyage sur la côte picarde en 1837, fut ému par le témoignage d’une vieille femme qui, dans sa jeunesse, avait vu le clocher de l’église Sainte-Marie dépassant des flots. Il a raconté ce drame dans une longue lettre à sa femme.

Sylvette Mathieu propose à travers ce texte palpitant de vivre les derniers moments de la ville basse d’Ault qui fut engloutie par la mer à la fin du XVIe siècle. Contrairement à la légende de la ville d’Ys, c’est un fait historique acquis tout comme l’existence d’un beffroi ecclésiastique ou la présence de muches (refuges souterrains) uniques en Picardie maritime. L’auteure nous emmène dans sa quête, sur le terrain auprès des habitants, de ce patrimoine oublié mais exceptionnel de la ville d’Ault.

Article avec interview de l’auteure sur Proxinews

“1583, AULT, la ville engloutie” : 12 x 20,5 cm, 264 pages, 12,20 €
ISBN 978-2-917621-07-3

Michèle DESCATOIRE « Sur l’autre rive de la Scarpe »

« Sur l’autre rive de la Scarpe » : 200 pages – format 12 x 20,5 cm – 8,00 € – ISBN 978-2-917621-01-1

Elle vit presqu’heureuse MaSur l'autre rive de la Scarpeïté, sur cette rive de la Scarpe, malgré les rêves prémonitoires qui hantent ses nuits, malgré l’époque troublée des années 40. La guerre qui vit ses derniers jours va pourtant changer le cours de sa vie de petite fille. Tout bascule après la mort brutale de ses grands-parents lors d’une incroyable méprise le jour de la Libération. Liés par une profonde affection avec son frère Olivier, ils vont se soutenir pour traverser cette enfance volée.
Un mari et trois enfants plus tard à l’âge de la maturité, Maïté va devoir choisir à la croisée des chemins. Et si le salut était sur l’autre rive ?

Michèle Descatoire est née à Somain, dans le Nord. Elle a passé son enfance à Rieulay, terre de mines et de terrils où elle vit encore aujourd’hui. Elle a publié en 1998 son premier recueil de poésies, écrites en « chti », « A pieds décaux » (A pieds nus). Elle y exprimait une grande tendresse et une certaine désillusion sur la vie, sur elle, sur l’intimité. «Sur l’autre rive de la Scarpe», texte en partie autobiographique, est son premier roman.


Couverture :
Paul Leroy : « Dans les branches d’un grand pin »
Musée de la Chartreuse – Douai
N° 984.7